Un soprano lumineux
Alexia Voulgaridou chante Amelia de Simon Boccanegra de Verdi à la Halle aux Grains. Elle est bouleversant.

Alexia Voulgaridou est l’une des révélations de Simon Boccanegra à la Halle aux Grains. La soprano d’origine grecque illumine le monde d’hommes de l’opéra de Verdi. Le personnage d’Amelia (une prise de rôle)  marque ses débuts en France.

Anne Marie Chouchan, La Dépêche du Midi, October 17, 2009

Gesanglich beeindruckte vor allem Alexia Voulgaridou bei ihrem Rollendebüt. Ihr saftiger, in den Tiefen warm tönender und in den Höhen leuchtender Sopran erwies sich zusammen mit einer ausgezeichneten Diktion als ideal für die Amelia. Ihr Auftritt „Come in quest’ora bruna“ leuchtete voll jugendlicher Frische, während sie in der Ratszene dramatische Qualitäten kraftvoll zum Ausdruck brachte.

W. Kutzschbach, Das Opernglas, January 2010 

Au cœur d’un plateau littéralement somptueux, une découverte majeure s’impose : la soprano grecque Alexia Voulgaridou. Découverte au moins à deux titres, elle faisait ses débuts à Toulouse et abordait le rôle d’Amelia pour la première fois. Véritable Aïda en puissance, cette cantatrice maîtrise d’ores et déjà à la perfection une voix d’authentique soprano lirico-spinto. Capable de magnifiques nuances comme des éclats les plus incendiaires, Alexia Voulgaridou possède une voix d’une magnifique homogénéité doublée d’un ambitus d’une remarquable largeur. Un contrôle du souffle sans appel lui donne accès à un cantabile souverain. …..  l’artiste domine le rôle et nous en donne une interprétation absolument enthousiasmante.

Robert Pénavayre, www.classictoulouse.com, October 9, 2009

L’émotion affleure pourtant, lorsque Lavelli trouve derrière les chanteurs de vrais talents d’acteurs : il n’a pas à pousser beaucoup l’extraordinaire Alexia Voulgaridou pour relever le portrait d’Amelia Grimaldi, au point même que c’est elle cette fois l’héroïne de l’opéra, et non son Doge de père. La voix est belle, pleine, ample, avec ce médium qui promet pour demain de beaux développements dramatiques ce que confirme l’aigu, moins aérien et lumineux que voici quelques années (on se souvient de sa Sophie stratosphérique pour le Prinzregententheater), mais surtout l’actrice surprend repeignant en couleurs vives une héroïne qui n’est en général que sentiments.

Jean-Charles Hoffelé, www.concertclassic.com, October 9, 2009

La soprano grecque Alexia Voulgaridou nous émeut à chaque note. Dotée d’un beau médium, sa voix est ample, riche su toute la tessiture, parfaitement contrôlée au plan technique. Une vraie révélation.

Anne-Marie Chouchan, La Dépêche du Midi, October 13, 2009

Pour sa première venue à Toulouse et pour une prise de rôle, Alexia Voulgaridou a fait mouche en Amélia ; d’emblée la voix s’impose par son étendue, sa souplesse, son brillant, sa projection, et comme le jeu théâtral donne l’illusion du naturel, elle triomphe à juste titre.

Maurice Salles, ForumOpera.com, October 13, 2009

Au cœur  d’un plateau littéralement somptueux, une découverte majeure s’impose : la soprano grecque Alexia Voulgaridou . Capable de magnifiques nuances comme des éclats les plus incendiaires, elle possède une voix d’une magnifique homogénéité.

Robert Pénavayre, Voix du Midi, October 15, 2009

Alexia Voulgaridou, qui, de toute évidence, trouve en Verdi un terrain d’élection, emporte l’adhésion par sa plénitude vocale,  l’homogénéité de ses registres,  sa puissance, autant d’atouts qui lui permettront bientôt d’aborder des emplois plus dramatiques.

Michel Parouty, Les Echos, October 15, 2009

Alexia Voulgaridou déploie dans le rôle d’Amélia des trésors d’aisance vocale.

Marc Laborde, Utmisol, October 15, 2009

Alexia Voulgaridou a une voix corsée avec un médium sonore et des graves chaleureux…. Les nuances piano leur apporte lumière et rondeur. La mise en scène lui demande d’être très volontaire et active et l’actrice est habile.

Hubert Stoecklin, Res Musica , October 16, 2009