Press Reviews - Alexia Voulgaridou - Soprano
Giacomo Puccini, Madama Butterfly, Palais de la Monnaie, Brussels, Belgium, January 2017

Et les voix ne sont pas en reste: la Cio-Cio-San d’Alexia Voulgaridou est absolument magistrale, à la fois puissante sans excès, émouvante avec justesse, jouant sans cesse sur plusieurs registres à la fois et extrêmement convaincante sur le plan dramatique, alors que la mise en scène la place sans cesse en dehors de l’action. Quel dommage de se priver de la contribution théâtrale d’une aussi bonne recrue!

Www.forumopera.comClaude Jottrand, January 31, 2017

Cio-Cio San’s son is a rather chubby marionette and, understandably perhaps, she does not have any contact with him. Voulgaridou sings a heart-wrenching “Tu, piccolo Iddio” as she says goodbye to her son but there is no correspondence between her voice and words and the actions of her alter ego, the marionette.

Voulgaridou, despite the constraints put on her, sings with incredible power and emotional punch. You forget the disconnect between the teenage bride waiting with unbelievable longing for her beloved to return and the sterile puppet being moved around. She is a soprano at the top of her game and able to perform under challenging conditions.Madama Butterfly by Giacomo Puccini opened on January 31 and will be performed until February 14, 2017 at the Palais de la Monnaie, Brussels, Belgium.

Reviews and Views, James Karas, February 13, 2017

Une interprétation réussie également grâce aux capacités vocales de la soprano Alexia Voulgaridou qui prête sa voix à la poupée. Elle n’est pas une narratrice hors de l’action, mais bien le fantôme de Butterfly qui nous hante et conte son histoire. Sa voix aiguë et puissante aux larges résonances graves passe au-dessus de l’orchestre, même dans les nombreux moments où la mise en scène la présente de dos (figurant son humilité japonaise et laissant rayonner le visage de la poupée, son double). Elle emmène le public dans son monde, particulièrement durant ses arias culminant dans le sublime “Un Bel Di Vedremo“, ample, rempli d’espoir et, déjà, de tristesse. L’émotion d’une voix rayonnante au vibrato généreux et homogène est au rendez-vous, malgré la distance entre l’action et le chant ainsi que le caractère processionnel, quelque peu statique de sa marionnette.

Sophie Pechon, www.olyrics.com, February 13, 2017

Su tutti la vocalità sottile ma dolce e molto delicata del fantasma Butterfly, il soprano Alexia Voulgaridou, che ha cantato con espressione e con intensità a bordo palcoscenico, vestita con lo stesso costume della bambola, ma con i bianchi capelli lunghi che nell’iconografia giapponese caratterizzano i fantasmi femminili.

www.operaeopera.com, Angelo Rivoli, February 12, 2017

Nach 40 Jahren: Die Monnaie spielt zum ersten Mal wieder Madama Butterfly. Wie Puccini es versteht in „Madama Butterfly“ japanisches Flair mit europäischer Kunstmusik zu verschmelzen, ist von höchster Qualität und Dirigent Roberto Rizzi-Brignoli versteht es dies mit dem Orchester von La Monnaie, das sich wieder auf allerhöchstem Spielniveau präsentierte, umzusetzen. Ohne je in kitschiges Pathos zu verfallen. Im Gegenteil, Musik wie die ganze Produktion sind frei von jeder larmoyanten Sentimentalität. Das Regieteam von „Hotel Pro Forma“ um Kerstin Dehlholm hat sich für eine fast etwas distanziert wirkende Sicht entschieden. Die Figur der Cio-Cio-San wird zum einen von einer lebensgroßen Puppe dargestellt. Das ist das Mädchen Cio-Cio-San, und gesungen wird die Rolle von einer hervorragend disponierten Alexia Voulgaridou, die am Bühnenrand stehend, sich als eine Art Geist an die damalige Zeit erinnert. Das macht durchaus Sinn.

Hans Reul, BRF News, February 2, 2017

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